J’ai osé le faire. J’ai décidé de me fier à ma voix intérieure, à ma guidante intérieure. Ce fut un beau défi que je vous raconte dans cette vidéo. J’ai osé me fier à mon savoir intérieur, à mon savoir inné plutôt qu’à mes mémoires. Je n’y suis pas encore à 100%, mais je m’y approche et c’est bon. Quand je suis vrai, ça ne ment pas!
Transcription de la vidéo :12 septembre 2014
Fébrilité
Eh oui, j’ai osé le faire. Ça a été un peu fébrile pour moi, sur la route me menant à Val d’Or pour donner ma conférence. J’avais pris la décision en moi, de le faire autrement, avec qui je suis tout simplement. Une nervosité est revenue et s’y intensifiée de nouveau à l’approche de Val d’Or, mais une fois sur place, j’ai émis l’idée à la responsable de la tenue de la conférence, que si ce n’était que de moi, je n’ouvrirais pas mon portable. J’irais sans appui visuel autre que moi, simplement. Sa réaction fut plus qu’encourageante, elle m’a dit : ce serait tellement bien, c’est tellement plus personnel ; les gens trouvent que la communication avec le conférencier est meilleure. Récemment, une expérience semblable avait été très appréciée.
Oser
Cette réponse m’a vraiment encouragé. C’est donc ce que j’ai décidé de faire.
Je dois vous dire qu’au tout début, j’étais très nerveux. J’avais le trac, tellement que la main avec laquelle je tenais le micro bougeait beaucoup. J’ai même dû changer de main.
Pris dans ma mémoire
Par la suite, ça s’est bien déroulé. Et les moments qui furent les plus difficiles, étaient liés au fait que par moment, c’est une diapositive qui me venait à l’esprit, et je tentais de me coller au contenu de la diapositive que j’avais en mémoire – ce n’était qu’une mémoire – C’est ce qui me tourmentais et qui m’empêchait d’être pleinement avec les gens car je n’étais plus là, j’étais dans ma tête, pris avec une diapositive qui n’existait pas. Donc tout ce qui me retenait d’être moi-même n’étaient que des mémoires, au lieu de me fier à ce que je suis et que je savais au plus profond de moi-même. Dès que je quittais la mémoire, que je revenais au présent, quand je devenais pleinement là, tout allait bien.
Ma solution
Autrement dit, la seule chose qui me reste à finaliser, à raffiner, c’est d’augmenter ma confiance en moi, avoir une confiance totale en qui je suis. Et dans ce temps-là tout va très bien. Je l’ai vécu dans cette expérience de vie. Être tout simplement soi, honnêtement, complètement.
Je suis très content d’avoir vécu cette expérience. Maintenant, je sais que je vais me préparer fort différemment. Je vais FAIRE autrement car je suis de plus en plus moi-même.
Conclusion
C’est le petit clin d’œil que je voulais vous partager aujourd’hui. Ça vaut toujours le coût d’être soi. On en tire un maximum de dividendes. J’ai d’ailleurs eu plusieurs commentaires positifs à la fin de la conférence. Plusieurs personnes sont intéressées à s’inscrire à ma liste d’envois. Ça ne ment pas. En fait quand on ne se ment pas, ça ne ment pas. Pensez-y !
Guy Parent (819) 762-6675
Je suis contente pour toi. Continue ta mission.
Merci Cécile! Effectivement ma mission de vie est de plus en plus claire!!!
Bravo pour votre mission. Oui, quand on est vrai avec soi-même c’est-à-dire authentique, ayant une grande confiance totale en soi, en ses capacités et en sa mission on ne peut que réussir. Je suis certaine que votre succcès grandira de jour en jour et que vous apporterez beaucoup d’aide aux gens qui assisteront à vos conférences. Et je sais que Dieu vous accompagnera dans cette belle mission. Bonne Chance!
Chère Danielle, j’apprécie tes bons mots et ta compréhension de la façon dont l’univers fonctionne. Lorsque l’on comprend que tout ce que l’on a à faire est de trouver sa mission de vie et de tout faire pour la vivre, notre esprit devient clair. La confusion et le doute nous quittent de plus en plus. Le savoir faire et le savoir être sont alors harmonisés.